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Dentaire

Les imprimantes 3D dentaires

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Aujourd’hui, trois technologies d’impression 3D sont courantes dans le domaine dentaire : la stéréolithographie (SLA), le traitement numérique de la lumière (DLP) et le jet de matière. Chaque technologie peut fournir la précision et l’exactitude nécessaires pour les applications dentaires. Mais la qualité peut varier selon les différentes machines et systèmes.

La fabrication additive est devenu un choix commercial logique pour les cabinets dentaires et les laboratoires. Il combine une haute qualité avec des coûts réduits et des flux de travail rationalisés. Le marché s’est rapidement développé, mettant cette technologie à la portée d’un plus grand nombre d’entreprises.

Tout cabinet et laboratoire dentaire souhaitent garantir des pièces finales précises et de haute qualité.

Traditionnellement, le secteur dentaire peut être divisé en deux catégories : les prothésistes dentaires et les praticiens (dentistes, orthodontistes…).

Ces deux groupes d’acteurs travaillent en duo à la réalisation de dispositifs dentaires. En effet, ils souhaitent garantir des des pièces sur mesure adaptés à la pathologie des patients (couronnes, bridges, aligneurs, implants, gouttières…).

En général, le dentiste ou l’orthodontiste effectue une empreinte de la dentition et des gencives de son patient. Il utilise souvent à l’aide de plâtre ou de résine alginate. Puis il l’envoie au laboratoire dentaire chargé de fabriquer le dispositif.

Ainsi, l’ensemble de ce processus prend habituellement quelques jours et impose bien souvent plusieurs allers / retours entre le praticien et le prothésiste.

De plus, de son côté, le patient n’est pas garanti que son dispositif fonctionne du premier coup et peut-être amené à reprendre rendez-vous pour des ajustements.

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Aujourd’hui, trois technologies d’impression 3D sont courantes dans le domaine dentaire : la stéréolithographie (SLA), le traitement numérique de la lumière (DLP) et le jet de matière. Chaque technologie peut fournir la précision et l’exactitude nécessaires pour les applications dentaires. Mais la qualité peut varier selon les différentes machines et systèmes.

La fabrication additive est devenu un choix commercial logique pour les cabinets dentaires et les laboratoires. Il combine une haute qualité avec des coûts réduits et des flux de travail rationalisés. Le marché s’est rapidement développé, mettant cette technologie à la portée d’un plus grand nombre d’entreprises.

Tout cabinet et laboratoire dentaire souhaitent garantir des pièces finales précises et de haute qualité.

Traditionnellement, le secteur dentaire peut être divisé en deux catégories : les prothésistes dentaires et les praticiens (dentistes, orthodontistes…).

Ces deux groupes d’acteurs travaillent en duo à la réalisation de dispositifs dentaires. En effet, ils souhaitent garantir des des pièces sur mesure adaptés à la pathologie des patients (couronnes, bridges, aligneurs, implants, gouttières…).

En général, le dentiste ou l’orthodontiste effectue une empreinte de la dentition et des gencives de son patient. Il utilise souvent à l’aide de plâtre ou de résine alginate. Puis il l’envoie au laboratoire dentaire chargé de fabriquer le dispositif.

Ainsi, l’ensemble de ce processus prend habituellement quelques jours et impose bien souvent plusieurs allers / retours entre le praticien et le prothésiste.

De plus, de son côté, le patient n’est pas garanti que son dispositif fonctionne du premier coup et peut-être amené à reprendre rendez-vous pour des ajustements.